Mercredi 26 août 2009
On peut passer des vacances loin du multimedia, si si, pas de télé, pas de portable intempestif (choisir de préférence une région où les communications ne passent pas), pas d'internet... et découvrir que l'on peut mener une existence parfaitement paisible et heureuse en prenant garde à ne pas se laisser happer par des sollicitations intempestives totalement dispensables.
Et surprise, joie, vous vous découvrez un capital temps inouï pour vous adonner à moults plaisirs simples, de l'esprit et du corps, le luxe et la félicité.
Audiard l'a affirmé, en le plagiant, on peut annoncer, sans causer beaucoup de torts, hélas: "Si les cons volaient, beaucoup seraient chefs d'escadrille,...".
Le but du jeu étant, vous l'avez bien compris, de ne pas se retrouver soi-même au sein de l'escadrille, ce qui n'est pas gagné.
J'ai découvert et lu et un livre dont le contenu est revigorant, décoiffant, il se pourrait même qu'il en soit dérangeant.
"La vie commence à 60 ans" de Bernard Ollivier
Mais, me rétorquerez-vous, je n'ai pas soixante ans, je suis même loin du compte,... et alors, moi non plus, ce qui rend la lecture de cet opuscule d'autant plus précieuse.
Achetez-le, empruntez-le, "volez-le" et lisez-le, vous ne le regretterez pas.
Et son fameux contenu?
Je vous le laisse découvrir, certains trésors ne s'apprécient et ne révèlent leur saveur que dans la discrétion.
C'était l'humeur du jour, sans prétention aucune, du moins je l'espère, destinée à vous encanailler les neurones.